Je l'aime à mourir
Interprète : Francis Cabrel
1. |
Moi [DO]je n'étais rien et voilà qu'aujourd'hui Je [MIm]suis le gardien du sommeil de ses nuits, Je l'aime à mour[LAm]ir. Vous [REm]pouvez détruire tout ce qui vous plaira Elle n[SOL7]'a qu'à ouvrir l'espace de ses bras Pour tout re[DO]construire, pour tout re[MIm]construire, Je l'aime à mour[LAm]ir. |
Elle a gommé les chiffres des horloges du quartier Elle a fait de ma vie des cocottes en papier, des éclats de rire. Elle a bâti des ponts entre nous et le ciel Et nous les traversons à chaque fois qu'elle Ne peut pas dormir, ne veut pas dormir, Je l'aime à mourir. |
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Ref. | [DO]Elle a du f[MIm]aire toutes les g[LAm]uerres [SOL7]Pour être aussi forte aujourd[DO]'hui Elle a du f[MIm]aire toutes les g[LAm]uerres [FA]De la vie ... et l'am[DO]our aussi. |
2. |
Elle vit de son mieux son rêve d'opaline, Elle danse au milieu des forêts qu'elle dessine, Je l'aime à mourir. Elle porte des rubans qu'elle laisse s'envoler Elle me chante souvent que j'ai tort d'essayer De les retenir, de les retenir, Je l'aime à mourir. |
Pour monter dans sa grotte cachée sous les toits Je dois clouer des notes à mes sabots de bois, Je l'aime à mourir Je dois juste m'asseoir, je ne dois pas parler, Je ne dois rien vouloir, je dois juste essayer De lui appartenir, de lui appartenir, Je l'aime à mourir. |
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3. |
Moi je n'étais rien et voilà qu'aujourd'hui Je suis le gardien du sommeil de ses nuits, Je l'aime à mourir. Vous pouvez détruire tout ce qui vous plaira Elle n'a qu'à ouvrir l'espace de ses bras Pour tout reconstruire, pour tout reconstruire, Je l'aime à mourir. |